dimanche 27 août 2017

Premières Lignes #7


C'est sur le blog Les pages qui chuchotent que j'ai découvert ce rendez-vous créé par Ma Lecturothèque, et j'en ai trouvé le principe intéressant. Après tout, quand je vais en librairie pour acheter un nouveau livre, je regarde toujours la couverture et la quatrième de couverture. Mais il m'arrive aussi de lire les premières lignes voire les deux premières pages pour voir si le style de l'auteur me plait. J'ai donc décider de partager avec vous, chaque semaine, les premières lignes des romans qui m'ont plu ou même de mes lectures en cours en fonction de mon envie du moment. 







Résumé : Depuis mille ans, les habitants d'Aléa repoussent les peuplades sanguinaires en usant de leur relation avec ces êtres liés à la terre, à l'air, au feu, à l'eau, au bois, au métal. Lorsque les féroces Marats sont de retour, le sort du royaume repose une fois de plus sur les furies. 
Hélas, le jeune Tavi vient d'avoir quinze ans et il n'en maîtrise aucune. Pourtant, le courage et l'ingéniosité du jeune homme vont se révéler être une force plus cruciale que n'importe quelle furie. 

Une force qui pourrait lui permettre d'altérer le cours de la guerre...



Premières lignes :
Prologue

Le cours de l'Histoire est déterminé non par les batailles, les sièges, les usurpations, mais par les actions individuelles. La ville, l'armée la plus puissante sont, à leur niveau le plus fondamental, un ensemble d'individus. Les décisions de ceux-ci, leurs passions, leurs bêtises et leurs rêves façonnent les années à venir. S'il y a une leçon à retenir de l'Histoire, c'est que bien trop souvent, le sort d'armées, de villes, de royaumes entiers repose sur les actions d'une seule personne. En ce terrible instant d'incertitude, la décision que prendra celle-ci, bonne ou mauvaise, bénéfique ou néfaste, grande ou petite, peut, à son insu, changer la face du monde. 
Mais l'Histoire peut être une vraie petite souillon. Nul ne sait jamais qui est cette personne, où elle se trouve, et quelle décision elle va prendre. 
C'est presque assez pour me faire croire au Destin.

Extrait des écrits de Gaius Primus
PREMIER DUC D'ALERA

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